«Il provoque, il dérange, dans un monde fait de politesse et de bonnes manières, un monde où l'on parle avec des finesses à ceux sur qui l'on cracherait volontiers. Lui, tel un goonie, ne s'en prive pas. Tant pis pour la mauvaise conscience : les propagandistes néo-crémaziens auront l'air d'enfants de chœur à côté du jeune Deraps, et ne se nourriront certainement pas de son eau. »Extrait de la préface de R. Prince