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Passages

12,95 $

9782892951790

Passages

12,95 $Disponible

(...) Un Haïtien montréalais qui réussit à faire comprendre ce qu'est le drame profond de la diaspora haïtienne coincées dans le triangle de l'exil, sans compter la richesse de la thématique et, souvent, la luxuriance du style. - Jean Basile

Publié par l’Hexagone en 1991, Passages est un roman poignant sur le thème de l’exil, écrit dans une langue passionnante et tout imprégnée de l’atmosphère des Caraïbes.


Critiques

« Passages tient beaucoup de la poésie, comme il est d’usage dans la littérature d’Haïti. Un des traits les plus frappants de ce livre au style soigné et presque cérémonieux est qu’Emile Ollivier traite des paysages laurentiens, surtout en hiver et en automne, avec la même passion pour la couleur et le mouvement que les paysages de sa terre natale. [...] À ma connaissance, c’est le premier roman d’un Haïtien montréalais [qui] réussit à exprimer et à faire comprendre ce qu’est le drame profond de la diaspora haïtienne, coincée dans le triangle de l’exil qu’est Port-au-Prince, Montréal, Miami, sans compter la richesse, la thématique et, souvent, la luxuriance du style. »
Lire la suite >> Jean Basile, Le Devoir, 1991-01-01

« Tous les personnages de Passages sont des exilés, et c’est le choc de leur errance qui crée la trame du roman, plutôt que l’évocation nostalgique de leurs hypothétiques points d’attache. [...] Au bout du compte, le principal personnage du roman, ce ne sont pas les boat-people haïtiens ni les émigrés du Québec, c’est le vent, le vent caraïbe qui soulève des paquets d’écume dans la baie des Cayes, celui qui fait couler les embarcations de fortune au bord du rêve américain ou celui qui emporte dans une rue de Montréal les dernières bribes de cette histoire avec «les feuilles des érables centenaires jaunies par l’automne en force». »
Lire la suite >> Gérard Meudal, Libération, 1994-10-20

« Émile Ollivier se contente d’être une sorte de metteur en scène de ces aventures, placées sous le signe de Montaigne: «Je ne peins pas l’être, je peins le passage.» C’est par cette retenue et cette délicatesse, qui le conduisent à préférer la fable à l’autobiographie, qu’il atteint son but: être universel en étant modeste; dire, à travers des parcours singuliers, qu’on n’échappe pas à la maladie de l’exil. »
Lire la suite >> Josyane Savigneau, Le Monde, 1994-10-21

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