Description du livre
Entre cuir et peau offre une sélection des plus célèbres chansons de Lucien Francœur et du groupe Aut'Chose.
« Francœur dérange, par le seul fait d'être populaire. L'homme public bouscule peut-être davantage que sa poésie qui, tout à son image, trouble les amateurs de dentelle. C'est que la poésie de Francœur ne donne pas dans le bucolique, comme elle n'est pas d'abord au service de la beauté. »
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S.D., VOIR, 2005-09-27
« MINIBRIXES RÉACTÉS
Mais oui! Enfin du sexe à l’état de fornication, des maladies honteuses à pleine peau, des anomalies d’une rareté paranoïaque, des hallucinations à rabais. »
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Yrénée Bélanger, Le Livre canadien, 2005-01-01
« On perçoit un certain travail au niveau formel; les images, que n’aurait pas dédaignées Claude Gauvreau, s’enchaînent l’une derrière l’autre, essayant de créer un effet surréaliste pas toujours convaincant..., un long monologue intérieur nourri des «mythologies» américaines, de grandes utopies contre-culturelles et surtout de visions sexuelles, rappels mnémoniques ou fantasmes. »
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Roger Chamberland
« … un livre insupportable… tout sur la délinquance juvénile, les maladies mentales, la poésie psychosomatique et l’amour salaud au fond d’une cour d’été, une braquette sur la chaise de la maîtresse, un cri de guerre, un bordel à bras, un repaire de voyous, une arme à mettre entre les mains de ceux qui n’ont pas de diplômes et entre les cuisses de celles qui n’ont pas de nylon sous leur mini-jupe... UN LIVRE POUR LES DÉCIDÉS. »
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Isabelle Lavalière; Jojo Mendez
« SNAK-BAR
Francoeur y crie (écrit) encore ses obsessions, son amour pour une femme qu’il voudrait idéale mais qu’il découvre avec des défauts... La vie essaie de se donner des airs d’indépendance mais elle se retrouve toujours en train de se faire mal dans son quotidien: Francoeur le sait et même si Snack-bar veut parfois s’inscrire dans la désinvolture, le livre crie la difficulté de vivre. »
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Alain Dassylva, Journaliste, 2005-01-01
« II ne faudrait pas reprocher à Lucien Francoeur ses productions mythologiques: l’écriture est toujours mythologique, elle est désirante, en avant du discours, elle nous donne des mots à notre mesure, des mots qui donnent envie de se prendre pour quelqu’un qui a décidé de vivre sa vie. L’écriture de Lucien Francoeur coupe au plus court, court à l’amour chaud, à la solitude, à la chanson rock, à quelques livres, bref tout ce qui nous fait chialer tantôt nous rend surhommes. »
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Philippe Haeck, Chroniques
« Énumérations body maker le show du texte bandé sur les transistors en chaleur speedy comme une érection la ville en char le stylo décapotable jeu verbal les gestes sentent la musique montage le livre fait des passes cochonnes à l’intérieur d’une littérature de pacha... l’amour derrière les Dairy Queen lecture des ruelles électriques jungle du contexte Tamba de coke à l’aspirine Bayer. »
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Claude Beausoleil
« DRIVE-IN
Un texte automobile. Un texte de vitesse. Un texte qui se promène et explose de la «maladie du parking »... Ce Drive-in est dans la lignée de Snack-bar et de Roman d’amour, les meilleurs livres de Lucien Francoeur, on y retrouve tous les thèmes chers à Francoeur: l’écriture, la fille en minijupe (genre American Graffiti perdu dans les toilettes d’un Café de l’Est inventé), le sexe, la peur en couleur, le rock, etc. »
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Claude Beausoleil, Mainmise, 2005-01-01
« Les textes de Lucien Francoeur ont ce côté direct de la poésie américaine; on y entre de plain-pied. S’il y a des recherches, une alchimie du langage, elles s’exercent surtout au niveau des sons. Ce sont des poèmes faits pour être dits. Ils viennent d’un continent où la récitation de poèmes, l’exécution publique de ces morceaux parlés, est considérée comme un des beaux-arts. De là cette impression qu’ils donnent — et qui fait d’ailleurs leur force — d’être indissolument liés à un vécu. »
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, Rock‘n‘folk, 1976-09-01
« L’avantage de cet ouvrage, qui rassemble en huit parties distinctes des textes dont certains avaient été publiés séparément, est de nous faire saisir dans un ensemble extrêmement représentatif le monde du poète-rockeur... Exit pour nomades à mon sens constitue un remarquable échantillonnage de l’oeuvre d’un de nos grands poètes de l’urbanité. »
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Gilles Toupin, La Presse, 2005-01-01
« Le rockeur sanctifié frappe encore. Toujours avec la même fougue, le même désabusement, la même sensibilité, mais surtout avec la même voix qui se permet tous les interdits... Le «je», sur le rewind existentiel de Francoeur, nous touche par son côté iconoclaste... La poésie doit être faite par des sauvages, dit notre poète quelque part, et c’est par là qu’elle rejoint la musique rock. Et Lucien Francoeur est le résultat québécois imprévu et génial du mariage de ces deux arts. »
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Guy Ferland, Le Devoir
Suggestions de livres de l’éditeur
Typo
Hélène Dorion
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Leonard Cohen
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Jean Narrache
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